Le renouveau c’est cette volonté de renaître à travers de nouvelles perspectives et d’autres défis. La rédaction vous invite à questionner notre consommation de vêtements car de cette idée moins commune, de réels changements positifs peuvent naître.
Pourquoi ? Dans le monde occidental, le modèle dominant en terme de consommation de vêtements est celui de la fast fashion. Ce terme renvoie à une production très rapide et abondante de vêtements qui invite le consommateur à constamment acheter de nouvelles fringues. Ce système repose sur des éléments qui le rendent aujourd’hui plus que problématique.
Ceux majoritairement mentionnés sont les conditions de travail indécentes permettant d’alléger le prix de vente pour les beaux yeux de nos portefeuilles. Mais aussi ses conséquences environnementales, puisque ce secteur est aujourd’hui l’un des plus polluants, et le gaspillage qui en résulte est lui aussi démesuré.
Toutefois, bien que l’industrie dispose de nombreux outils pour camoufler et enjoliver tous ces aspects négatifs, de plus en plus de personnes en prennent conscience, cherchent des alternatives et certaines ont même décidé d’en faire l’objet de leurs réseaux sociaux et vidéos sur Youtube. C’est de leur engagement qu’il va être question dans cet article.
Les alternatives
Pour ce qui est des alternatives, on retrouve en premier lieu le fait d’acheter en seconde main. Cela s’étend des friperies et ASBL à petits prix , à celles plus spécifiques avec des sélections précises selon le style. Certains sites internet et applications tels que Vinted, Depop, Leboncoin, Esooko, etc. sont également facilement utilisables et accessibles.
En suivant des personnalités comme Rosa B (@rosabohneur) ou Clara Victorya (@claravitorya) vous partirez à la découverte des merveilleux trésors de la sape dont les friperies regorgent. Et ce, quel que soit votre style. La Belgique est aussi bien représentée avec Eléonore Degand (@deggand) et son « QLF = que les fripes », ou Juliet Bonhomme (@julietbonhomme) ambassadrice du upcycling et du slow fashion.
Une seconde alternative est justement de redonner vie à ses vêtements, voire même d’en créer via le recyclage des matériaux. C’est ainsi que Juliet Bonhomme réalise un top à partir d’un tablier de cuisine, et que Rubi de la marque « Rusmin » (@rusmin.fr) transforme une vieille chemise en des hauts super sexy.
Enfin, il est aussi possible de faire le choix de marques éthiques concernées par les aspects sociaux et environnementaux, et par la question d’un volume de production raisonnable afin de proposer des produits de qualité et à un prix justifié.
Comme vous pouvez l’imaginer, la mission de cet article est d’éveiller les consciences sur un enjeux important de la construction de notre futur, face auquel rien n’est perdu mais où tellement reste à faire. Les personnalités dont il a été question pourront sûrement vous inspirer et vous motiver à progressivement quitter le tourbillon de la fast fashion.
Sanchine Shirimbere
Commentaries par
Au royaume des 7 gaufreries…
Il manque clairement la gaufre de Egennols aux Guillemins ...